Pour cet amoureux fou de la vérité historique ce fut un sport dangereux ! Et il le savait ! A présent, le mensonge règne en maître absolu! Il se croit le plus fort ! Il a l'arrogance tranquille de tous les vaniteux puissants, qui sont sûrs de leur impunité.Heureusement pour le monde et l'Humanité, il y a toujours eu des gardiens de la Vérité universelle et qui veillent à ce que le pouvoir du mensonge vacille et soit enfin terrassé. Henri Guillemin fut de la race de ces « veilleurs » de ces « porte-flambeaux » qui se relaient tout au long des siècles pour transmettre la lumière et la chaleur de cette Vérité éternelle sans laquelle nous ne pourrions survivre ni progresser. Dans ma petite lucarne informatique je l'ai souvent écouté avec plaisir. Malheureusement, la vie est parfois misérable et mesquine; j'ai failli oublier ce merveilleux conteur.
Heureusement, par un hasard extraordinaire, lors d'une recherche sur le net, je retombe à nouveau sur ses vidéos. Et là, qu'elle ne fut pas ma joie, je tombe sur ce chef-d’œuvre de confession lyrique et mystique à la fois, intitulé : « ma conviction profonde ». De ma vie, je n'ai jamais été aussi ému et aussi bouleversé par un récit sobre, concis, précis, clair, simple et purifiant l'âme comme l'eau d'un ruisseau de montagne. Vous savez comme moi, que dans l'existence, on se trouve parfois terriblement seul avec ses doutes, avec ses chagrins, avec ses angoisses, avec ses interrogations, alors jugez de la joie que l'on peut éprouver quand on entend un être qui vous prend par la main, amicalement, pour vous montrer son Espoir, la fin de sa Quête spirituelle, qu'il vous la livre sans pudeur , gratuitement et bénévolement. Alors vous comprenez immédiatement, que ce « don précieux », il n'est pas donné qu'à vous. Il vous saute à la figure, et que vous avez le devoir impérieux de le répandre autour de vous. Ce n'est pas le « secret » de quelques sectes vaniteuses et élitistes ! Oh non ! C'est un don qui doit être partagé universellement. Car Henri Guillemin était un authentique "homme du Peuple" et qui désirait que son savoir soit donné à tous, sans aucune exception, car la Connaissance doit appartenir à tous, que le Savoir est délivrance, qu'il brise les chaînes de la servitude de ce peuple dont il était issu lui-même et dont il était fier.
Mais trêve de discussion, mon ami et mon Maître ne mérite qu'une seule chose de ma part ; que je vous livre tel quel son message :