samedi 4 août 2007

Horoscope au féminin.


A la fin de mon hebdo télé, il se trouve toujours une page remplie de publicité pour des voyantes et voyants extra "super" lucides.
Il y a quelques mois encore, on y voyait quelques « tronches » de mecs égarés dans ce milieu de « sorcières »
Un dicton que je désapprouve totalement précise que dans chaque homme, il y a un cochon qui sommeille !
Moi, je rétorque immédiatement que dans chaque femme dort une personne se baladant la nuit, à la pleine lune, sur un balai pour préparer des choses pas très fraîches à refourguer à de jolies poupées déguisées en princesse, par pure jalousie !
Mais pour revenir à mon hebdo télé, j’ai constaté cette chose surprenante ;
Maintenant les potes « à boule de cristal », c’est fini ! Disparus les gonzes !
Que de la nana ! Pas un « visionnaire » mâle à l’horizon !
Je m’y étais intéressé parce qu’un malandrin portant mon nom y sévissait en étalant son visage d’arnaqueur professionnel !
On sentait bien, à voir son visage rigolard, qu’il tentait, lui aussi, de se faire un max de blé sur la crédulité de ses contemporains et surtout contemporaines.
S’il y a urgence à établir des quotas sur la parité, c’est bien dans ce domaine où sévit déjà une doctoresse et une ex-chanteuse célèbre !
Mais comme tout le monde, je ne rate jamais mon horoscope hebdomadaire !
Car, comme le proclamait une chanson au générique d’une célèbre émission de José Arthur, à la radio :

« Parlez-moi de moi, y a que moi qui m’intéresse ! »

Tout le secret de cette arnaque éternelle est contenu dans cette belle petite phrase !

mardi 31 juillet 2007

La petite envie

Comme des millions de vacanciers je me suis arrêté dans l’une de ces usines à « bouffe » et à ravitaillement en tous genres pour machines ,et êtres humains, qui jalonnent nos belles autoroutes raquetteuses.
Vu les prix pratiqués, les bandits de grands chemins et les « chauffeurs » d’autrefois n’étaient que de pâles amateurs sans ambition à côté des gestionnaires des rubans de bitume.
Mais il y a quand même des surprises amusantes à constater !
C’est ainsi que dans le hall bondé de la station, je remarquai immédiatement une file d’attente surprenante. Elle était composée de personnes du beau sexe de tous les âges, toutes les dimensions, toutes les largeurs, de toutes sortes de visages, de la plus renfrognée, à la plus rêveuse, de la plus ravissante, à la plus repoussante !
Je me suis alors demandé si les soldes n’étaient pas terminés dans cette région !
Ou s’il n'y avait pas une boutique de parfumeur, de produits de beauté etc..
En rougissant je compris ma bévue ; elles n’attendaient que devant la porte des toilettes !
Ah ! Mesdames ! Comme je suis un affreux goujat !
J’avais oublié, que d'horribles « misogynes » (dont je ne fais pas partie, bien évidement !)
vous qualifient d’un adjectif que je n’ose répéter ici, tant il est vulgaire et méprisable!
Imaginez une « collègue » d’Alonso ou de Schumacher, faisant aussi de la formule I, sur le circuit du grand prix de France On entendrait peut-être ce commentaire un peu « surréaliste » !

_Et voici que Brigitte Delco arrive au stand ! Que se passe-t-il ? Une rupture d’embrayage ? Une crevaison ? L’électronique de bord ? Ah ! Mais c’est surprenant ! Voici que Brigitte s’extrait de sa voiture et court à l’intérieur des stands ! Que se passe-t-il ? Va-t-elle abandonner ? Un malaise ? Nous sommes terriblement angoissés !
Le suspens est à son comble !

Les secondes s’égrènent ! Terrifiantes !
_Ah ! Non ! La voilà qui revient ! Elle s’engouffre à nouveau dans son bolide ! Elle est repartie ! Ouf ! Mais mon cher Jacques (Lafitte) ! Quel est ce mystère ?
Et là, « Jacques » se penche à l’oreille de l’indiscret !

_Bon ! Ben ! Tout ceci ne nous « regarde pas » ! La course continue !

mercredi 25 juillet 2007

La vague scélérate

Si vous n'avez pas vu un certain reportage à la télévision, il y a quelques temps de cela, vous avez raté une merveilleuse occasion d'apprendre des choses passionnantes sur l'Homme et la Nature. Un vrai roman à suspense!
Un authentique, celui-là! Terrifiant à souhait!
Plus fort que l'énigme du triangle des Bermudes, que le monstre du Loch Ness!
Mais cette fois-ci l'énigme a été résolue, et de quelle manière!
Cela commence par des récits de marins terrifiés. Des navires de fort tonnage disparaissent sans laisser de trace! Oui ! De gros navires modernes et tout neuf !
Un porte-containers allemand de 172 m de long s'évapore une nuit de tempête, après avoir lancer un SOS!

On ne retrouva rien de lui! Sauf un canot de sauvetage vide!
C'est alors que de nombreux capitaines firent le témoignage terrifié d'une vague gigantesque, comme ils n'en avaient jamais vu dans toute leur carrière de marin, et qui les surprit un jour, sans crier gare!
Même par beau temps!
C’est ce qui est le plus extraordinaire et le plus effrayant,
si cela était possible !
Des dégâts considérables sur les navires attestaient de leur bonne foi et de l'authenticité de leurs récits.
Sans oublier le fait que ce sont tous des capitaines de navires, gens peu enclin à raconter des fables, et ayant un grand soucis de vérité et de responsabilité!
Et c'est là que l'esprit tordu, mesquin et incrédule de l'homme fait son apparition! Car toute la communauté scientifique, et surtout celle éternelle des "bien-pensants", des gens "intelligents", des "à qui on ne la fait pas", ricana bruyamment, en démontrant "mathématiquement" que les vagues étant des "trains d'onde" dont l'amplitude était "rigoureusement" calculée et qui ne variait jamais! Cette « incrédulité » ne vous rappelle rien, dans d’autres domaines ? Donc, ces vagues "monstrueuses" étaient à classer dans les fables des récits fantastiques de marins. C'est tout juste si on ne les prenait pas pour des poivrots à l'imagination frôlant le delirium tremens!
Mais la Nature veillait et se vengea cruellement de ces "mécréants" insolents!
C'est que sur la Mer du Nord, se trouvent un certain nombre de plate-formes pétrolière, qui elles, ne bougent pas!
Et ce qui devait arriver, arriva!
A la fin des années 90, une ENORME vague de plus de 35 m de haut, arracha une de ces plates-formes, et plus de cent personnes périrent noyées! Plus question de jouer les "fanfarons" et de nier l'évidence!
La gifle fut cinglante et sanglante!
Pour le coup, ce sont les marins qui ricanèrent!
"Honteux et confus" les scientifiques durent reprendre leurs chères études!
Un peu d'humilité ne fait de mal à personne.
Même pour des gens se croyant très intelligents et très instruits !
N’est-ce pas ?

Heureusement, la science spatiale vint à leur secours sous la forme de satellites possédant des radars altimètriques d'une précision au décimètre près. On put ainsi détecter ces vagues monstrueuses de plus de 30m de hauteur en pleine mer, dans des endroits peu fréquentés par la navigation marchande.

Un mathématicien réussit même à en modéliser l'équation! Comme quoi, quand on veut se prendre la peine de comprendre et de chercher, on finit par trouver ! Mais nous savons tous qu’il est plus facile de jouer les incrédules pour passer pour des gens « avertis », que de faire l’effort de se creuser les méninges ! Alors, la prochaine fois qu'un de vos amis professeur, technicien, ou simple quidam ricanera sur un sujet, en disant que c'est totalement impossible, balancez-lui l'histoire de la « vague scélérate »! Histoire de refroidir sa vanité, et son orgueil ! Et s’il renâcle encore, balancez lui la célèbre phrase de Shakespeare :

« Il y a plus de choses au Ciel et sur la Terre, Horatio, que n'en rêve votre philosophie»

dimanche 22 juillet 2007

Testostérone mon amour.

Encore dans les brumes du sommeil, j'entends la voix d'un journaliste nous annoncer ceci:
"Des experts auraient conclu que les hommes sachant s'exprimer avec facilité, auraient un taux de testostérone anormalement bas."
Autrement dit, et sans ménagement : Les beaux baratineurs seraient des impuissants !
Ou encore plus direct: « Pour la « chose », il y a ceux qui en cause, et ceux qui agissent ! »
Voilà qui me réveilla d'un seul coup !
On s’en doutait un peu, et j’en connais que cela va réjouir beaucoup !
Les gens sont tellement méchants !
Vous remarquerez un détail intéressant ; nos chercheurs parlent de « la facilité de s’exprimer », et non pas de la quantité de paroles débitées !
Car pour nos bavardes impénitentes, nos éternelles sportives des olympiades de la causette, on sait depuis longtemps, que leur taux de testostérone est à zéro !
Et pour cause !
Non ! Il s’agit de la « qualité » du discours !
Mais voilà qui nous ouvre des horizons sans fins, de perplexités douloureuses !

Ainsi, Jaurès, Lénine, La Bourdaloue, Bossuet, Savonarole, Hitler, Mussolini, Caton, Virgile Sarkozy, et même
Ô suprême blasphème, les apôtres, Jésus Christ, et Mahomet, seraient tous
des « sinistrés » des testicules ?
Cela me rappelle la pièce « Le bel indifférent » ou une pauvre Edit Piaf s’égosillait
pendant une heure devant un Paul Meurisse sombre, taciturne, et muet comme une carpe
qui lui « devait en avoir des grosses comme ça » !
C’est normal ! « Y causait pas » !
Donc, mesdames, si j’ai bien compris la démonstration, ceux qui roucoulent agréablement, qui vous sortent de magnifiques compliments, des vers de mirliton, vous assaillent de poèmes à la con, et de discours enflammés
sont définitivement à fuir !
Ils n’ont rien dans le falzar ! C’est scientifique !
Mais le mec qui vous prend à la hussarde, sans vous demander votre avis, ou avec le strictement minimum d’autorisations recommandées par la décence, vous pouvez y aller !
C’est du morceau surchoix qui ne tombera pas en panne !
Garanti par les laboratoires !
D’ailleurs, de toute éternité, il en a toujours été ainsi !
Et ce crétin de Cyrano ?
Il pouvait bien parler en alexandrins, déclarer des choses sublimes à sa cousine qu’il aimait, il se l’est quand même
« coincée sous l’oreille !

Et c’est ce grand con de Christian qui a ramassé « la mise » !
Une buse sans cervelle, mais avec des castagnettes en bronze !

En amour, il n’y a pas de justice ! Que des nécessités hormonales !
C’est bien ce que tentent de nous démontrer nos braves chercheurs ?
Au fait ? Ne me dîtes surtout pas que je m’exprime bien ?
Aïe ! Aïe ! Aïe ! Comment ai-je pu avoir deux gosses avec mon épouse?
Et des garçons, par-dessus le marché !
Paraît que c’est le plus dur à avoir !
Ça se trouve, ils ne sont même pas de moi ?
Oh ! Je sens qu’il y en a une qui va me devoir des explications !
Mais je sens que vous allez me rassurer en me disant que j’écris comme mes pieds, et qu’il n’y a pas plus nul que moi pour s’exprimer !
Ouf ! Mais je l’ai échappé belle !
Ah ! Ces crétins de chercheurs, il faut toujours qu’ils nous fassent des frayeurs inutiles !
Pour un peu, ils nous feraient prendre nos testicules pour des amygdales!
Surtout que les miennes, on me les a enlevées dès mon plus jeune âge !
Mais c’est quand même plus moderne que les « vessies pour des lanternes » !

mardi 17 juillet 2007

Plaisir impromptu

Un soir, devant ma lucarne magique, je commis une « folie » ;
Je regardais « l’impromptu de Versailles », pièce de Molière, jouée par les Comédiens du Français.
Je dois avouer, à ma grande honte, que je ne connaissais pas cette pièce de notre génial fils de tapissier.
Quelle ne fut pas ma stupeur, et ma surprise, de voir ainsi jouer une pièce d’une modernité étonnante !



« Quoi de neuf au théâtre en ce moment, Maître ?

Molière, mon ami ! Toujours Molière ! »

(Sacha Guitry)

Il ne suffit pas de le dire, il faut le démontrer !
Avoir le « culot » de jouer son propre personnage, avec ses propres acteurs, pour deviser et philosopher sur le théâtre, son métier, le rôle social qu’il doit avoir, et tout ceci en faisant semblant de répéter une pièce pour le Roi ?
Il n’y a rien à ajouter. On voit la marque absolue d’un grand génie !
Il lui fallait non seulement du génie, mais aussi un certain courage, et un certain culot, car les « grands » n’étaient absolument pas épargnés par la peinture féroce qu’il en faisait dans ses pièces !
S’il était un sujet respectueux pour son Roi, il n’était en aucune manière, un courtisan !
Imaginez un peu la révolution extraordinaire que devait représenter le texte de cette pièce, pour ces gens de cour, et même ce public populaire,
habitués aux règles d’un spectacle plus explicite !
Et que de jaillissement d’esprit, de lucidité, de férocité, de subtilité dans la psychologie humaine ! Tout ceci des siècles avant Freud et son « touche-pipi » clinique et réducteur !
Devant tant de profondeur, d’humanité, on est pris comme dans un vertige en songeant à l’éternité de l’Homme prisonnier de ses angoisses et de sa recherche d’absolu.
La matière, la technique, la science du réel, le matérialisme effréné, nous ont abîmé l’âme depuis l’époque de Molière !
C’est en voyant le chemin parcouru que l’on comprend mieux notre régression spirituelle évidente.
Ils n’avaient pas d’ordinateurs, ni de voitures, ni d’avions !
Mais comme ils voyageaient loin dans les arcanes de l’esprit humain, et comme leurs rêves et leurs espoirs étaient beaux et profonds !

lundi 16 juillet 2007

Les oiseaux du bonheur.

Comme le Bon Dieu est facétieux !
Je revenais tranquillement chez moi, en voiture, les pensées sombres, le moral dans les chaussettes, l’humeur plus basse que le QI des candidats de « secret story » !
C’est vous dire mon « désespoir » !
Quand tout à coup, je faillis lâcher le volant au spectacle hallucinant qui s’offrait soudain à moi !
Devant mes yeux, à la hauteur de mon pare-brise, passait la patrouille de France,
en formation « diamant », me coupant littéralement la route à moins de 100 pieds d’altitude !
Quasiment en rase-mottes !
Vous ne pouvez pas comprendre le choc émotionnel qui fut le mien, sur cette petite route départementale, à la vue de cette apparition incongrue, impromptue, et inimaginable !
Je poussais quasiment un hurlement : « Wouaaahhh ! »
C’était aussi hallucinant que l’apparition d’un vol de soucoupes volantes !
N’étant que le seul passager de mon véhicule, mon « délire » brutal ne dérangeât que moi !
Je n’ai pas besoin de vous dire que les commissions dormant dans le coffre de la voiture arrivèrent à une vitesse supersonique chez moi.
Je pris mes jumelles et je me suis dirigé vers l’aérodrome mythique de Melun-Villaroche.
C’est ainsi que j’ai eu droit, pour moi tout seul, et quelques autres curieux, garés sur le bas-côté des routes et chemins, à un meeting de près d’une heure de la patrouille de France.
Tout y est passé !
Les tonneaux, les formations en étoile, en diamant, les rencontres, les éclatements, jusqu’au cœur final percé de sa « flèche » !
Tout ceci quasiment à la verticale de mes yeux éblouis !
Les « alpha-jets » virevoltant comme des oiseaux fous !
Du grand art ! Et tout ceci gratos, impromptu !
Hein ! Elle est pas belle la vie ?
Moi qui, quelques instants auparavant, aurait balancé aux chiottes l’humanité entière, avec un raffinement sadique, et sans le moindre remord encore !
Voilà que le Bon Dieu me « punissait » instantanément, en me montrant l’ineptie et la stupidité de pensées impies !
Méditez les jeunes ! Méditez bien cette histoire, les jours de « coup de blues » !

dimanche 15 juillet 2007

Le bon roi Dagobert…

Ce matin, soleil d’été ! « Je me lève…. et je te bouscule.. »
Pas du tout ! Vu que madame était déjà levée, et que c’est moi qui flemmardais au plumard !
Et à une heure….que je vous cause pas ! Tellement j’ai honte !
La toilette expédiée vite fait, je me « dressing » selon les circonstances climatiques !
Je mets mon beau short clair que j’étrenne pour la première fois de l’été !
Madame me ramone les « portugaises » comme quoi « y pas de pain », et pas de charbon de bois pour le barbecue, et pas de flouze dans le porte-monnaie, et nana ni et na na nère !
Enfin bref, un début de journée ordinaire !
Je fonce dans mon carrosse dispendieux (comme le disent, si joliment, nos cousins québécois !)
et me voilà parti au centre ville !
Je fais flamber la carte bleue. Je fonce à la superette du coin.
Je musarde dans les rayons, je sors, je refais la queue à la boulangerie dans la rue principale, queue longue comme sous l’occupation allemande, en ces temps de vacances.
C’est au moment de sortir le porte-monnaie de ma poche qu’un détail m’agace !
Depuis un moment déjà, j’avais remarqué que j’avais dû mal à y glisser la main !
Ah ! Cette maniaque d’épouse, et son repassage à la con !
C’est en arrivant à la voiture que le drame survint !
Ayant posé discrètement la main sur le revers charnu de ma personne, je sentis avec horreur, la braguette de mon short sur la raie de mes…… !!!
Oui M’sieurs, Dames ! Vous avez deviné !
Ceux qui ont fait ce rêve classique de se retrouver à poil en pleine foule, comprendrons aisément la honte et la gêne qui me submergèrent brutalement !
Heureusement qu’un T-shirt assez long cacha en partie, cette indécence vestimentaire de très mauvais goût !
Je me catapultais dans ma tire à la vitesse de la lumière !
Je rentrais chez moi, comme en « téléportation » de chez
« Startrek and Co » !
C’est dans les toilettes que je rectifiais sans tarder cette distraction incongrue, sans en souffler un mot à mon épouse !
D’ailleurs, je vous en supplie !
Comme je sais qu’elle ne lit jamais mes « stupidités », ne me trahissez pas, par un bavardage intempestif et indiscret !
Elle serait foutue de demander le divorce !
Ce n’est pas que cela me chagrinerait beaucoup, mais j’ai une sainte horreur des tracasseries administratives !
Que je suis distrait quand même ! Et je n’ai même pas l’excuse d’être amoureux !
Car cette catastrophe épouvantable n’étant plus de mon âge, j’en suis, Dieu merci, préservé !
Et je n'avais même pas un « bon Saint Eloi »
pour me mettre en garde !

Le bon roi Dagobert,
Avait sa culotte à l'envers,
Le grand Saint Eloi lui dit : "O
mon Roi,
Votre majesté Est mal culottée"
"C'est vrai, lui dit le roi, Je vais la remettre à l'endroit"